MEXIQUE 25 AVRIL - 7 JUIN 2009
Depuis le temps qu'on se connaît, on commence à bien se connaître, non ? Et pis si on ne se connaît pas encore, on va vite faire connaissance, vous allez voir…

Alors donc, comme dit ci-dessus : ¡ BIENVENIDO !

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11.6.09

>> Influenza A : Fin de l'histoire

L'hôpital vient de m'appeler.

21:00, ça fout les jetons.

En plus j'étais pile en ligne avec une amie/cliente à parler de ma santé.
Du coup elle a été la première à savoir le résultat, en direct, un téléphone dans chaque main, le bern.

Nous avons donc pris ensemble les mesures qui s'imposaient.
Faut pas rire avec ces choses, non plus.

Même si on ne comprend pas trop ces degrés d'alerte 4, 5 et 6 maintenant, il faut rester vigilant.

De cet appel, il ressort que la contagion est opérationnelle 24h avant l'apparition des symptômes (ça c'est grave) et reste virulente durant les 4 premiers jours du traitement Tamiflu.
Après, t'es virtuellement guéri.

Donc il faut être méfiant, même si on ne ressent pas la maladie.
C'est pas la peine de contaminer tout son village.

Enfin, bon, pour mézigue : que dalle, fausse alerte.

P.S. Je vends un stock de Tamiflu, état neuf, jamais servi.
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>> Retour (ter)

Bon ben voilà, fini l'hosto, rentré maison.

Avec le kit de survie indispensable :

Alors le voici ce fameux Tamiflu dont on nous rebat les oreilles...

Résultat des courses pour ma pomme : on me téléphone dès que les résultats d'analyse.
1/ Négatif, j'arrête la prise de Tamiflu.
2/ Positif : je continue la prise du médicament (1 matin et soir pendant 5 jours).
Pas plus compliqué que ça.
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>> En direct de l'hôpital

Bon, ben je glandouille aux "urgences".

J'ai été rapidement reçu et examiné, tout bien comme il faut.

En l'absence de forte fièvre, personne n'est très inquiet.

A titre de précaution, on fait quand même un prélèvement nasal et on me met sous Tamiflu.

Après, je peux rentrer chez moi en portant le masque si je vois du monde.

Là où ça de gâte, c'est que ça fait 1 heure que j'attends le médoc.

Dans la pièce où je me trouve, il y a un ordi.
Du coup je me connecte, ça m'aide à patienter.

Mais quelque chose me dit que je ne vais pas m'éterniser...
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>> Retour (suite)

Comme je suis pas mal enrhumé depuis mon retour, je décide quand même d'aller voir le toubib.

Cette dernière ne sachant pas trop comment gérer le problème se renseigne auprès du Samu sur les procédures à suivre.

Résultat : je suis attendu aux urgences de l'hôpital de Grenoble par l'infectiologue qui va s'occuper de mon cas...

"Venez au plus vite, portez un masque et ne prévoyez rien pour l'après-midi" m'a-t-on dit.

La suite au prochain numéro.
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