Hier fin d’aprèm, arrivée impromptue du déluge.
Je me dis que c’est plutôt bien après 6 mois de sécheresse.
Mais ça prend vite une ampleur effrayante et c’est d’un seul coup une tornade qui s’abat sur Mérida.
Dans l’hôtel où je suis tout se casse la gueule, même les grandes jarres en terre, on dirait que le toit va faire sa valise et le vacarme est invraisemblable.
Et pis ça se calme d’un coup.
En ville, quelques panneaux et branches jonchent le sol, mais dans l’ensemble, rien de grave.
C’est la banlieue qui a été touchée, en particulier du côté de chez l’amigo Philippe, c’est con…
Il a vu les arbres s’effrondrer et un fleuve s’est formé sur la terrasse de sa maison, ruisselant a l’intérieur jusqu’au rez-de-chaussée.